ALHADHUR Chaker est sans doute parmi les grands talents du football de jeunes comoriens en France.
Né le 04 décembre 1991 à Nantes en France, Chaker originaire des Îles Comores a intégré l’emblématique centre de formation du FCNA (Football club de Nantes) à l’âge de 5 ans ½.
Saison après saison, le jeune homme améliore la qualité de son jeu et entame une ascension tranquille au sein du centre de formation du FCNA.
A 16 ans aujourd’hui, il fait parti des rares rescapés d’une concurrence permanente des centres de formation de la planète football.
En 2008, le jeune Chaker fait parti du groupe des moins de 18 ans, Mais il est souvent appeler pour renforcer le groupe CFA des jaunes et verts de la ville de Nantes (les Canaris ou FCNA).
Jour après jour, Chaker gagne la confiance et l’estime de son entraineur. Une sorte de récompense de ses belles prestations sur les gazons.
Sa polyvalence et sa vivacité lui permettent d’évoluer sur n’importe quel poste. On l’a vu évoluer, tout au long de sa formation, en défense, au milieu et parfois en attaque. Un atout pour devenir un vrai et un beau professionnel du ballon rond.
Ses frappes impressionnantes, sa technique, sa vitesse mais aussi son comportement digne d’un professionnel, lui placent parmi les meilleures de son âge à son poste.
Généralement, il évolue aux postes de latéral et ailier gauche, mais on le retrouve fréquemment dans les actions offensives. Ce droitier dans les couloirs gauches est un cauchemar pour les adversaires.
Ce n’est pas encore l’euphorie car la carrière du jeune n’a pas encore atteint le sommet. Pour que cette dernière prenne un véritable tournant, il va falloir que le jeune redouble ses efforts sur le terrain car la concurrence est rude.
Avec un père omniprésent dans son parcours, le jeune ne manque pas de conseiller. Il est encouragé par ses proches et ses amis. Aujourd’hui, la communauté comorienne et les domoniens en particulier saluent le parcours de ce jeune homme calme et posé.
La rédaction du Shamwendo lui souhaite bon courage et bonne chance pour la suite.
La rédaction